Accidents – guerres -troubles du comportement

L’ors d’un accident brutal, notre corps physique secrète des substances qui décuplent nos sens et nos forces et qui permettent de surmonter. Les 3 autres corps qui sont : le corps émotionnel, le corps mental et le corps spirituel, doivent impérativement être soignés, s’ils restent endommagés ils peuvent entraver le processus de guérison et pourraient engendrer un déséquilibre émotionnel. C’est ainsi que l’on a pu constater que des personnes ayant subi un traumatisme crânien présentent parfois les mêmes symptômes que ceux du spectre de la schizophrénie.

Les attaques  physiques affectent le mental et vice-versa. Quand le mental est endommagé, les dépendances se mettent en place. La personne touchée aurait parfois de la difficulté à s’apercevoir que son mode de vie et son alimentation pourrait l’amener vers une pathologie plus lourde. Une conscientisation thérapeutique axée sur la restructuration de son mode de vie, d’être et de penser est un prérequis dans l’aide à apporter à l’individu concerné et à ses proches aidants.

 

Nos thérapies appliquées vis-à-vis d’un accident, sont principalement basées sur trois approches complémentaires incontournables : 

La communication, l’alimentation,

la micro-nutri-détoxification.

Le cerveau reptilien constitue le tronc cérébral.  Il s’est  vu sur un cerveau décortiqué, que des lésions du système limbique, interdisent le contrôle des centres supérieurs sur l’activité de l’hypothalamus. Il existe des cas où le comportement exprime un état de rage violent, invisible dans l’environnement immédiat. Les neurosciences situent les sites les plus importants dans le déclenchement des déferlements de violence sur les aires frontales et préfrontales, dans l’amygdale, l’hippocampe et dans l’hypothalamus, qui sont toutes les composantes du système limbique. La neurologie nomme « syndrome du dis-contrôle épisodique » les cas de conduite paisible ordinaire passant momentanément à un comportement violent, qui émane des décharges du système limbique, sans aucune intention de la personne qui l’exhibe, quand ils sont reliés à la fois à des lésions cérébrales et à la chimie du cerveau.