Porosité, ulcère, inflammation, agression.
Le glutenmorphine des céréales et la caséomorphine des produits laitiers et ses dérivés, sont de réels déclencheurs. » Et non ! ce n’est pas une mode c’est une triste réalité actuelle »
Le cerveau humain utilise certains opiacés naturels (les endorphines) comme neurotransmetteurs, ce sont des opiacés endogènes.
Les opiacés exogènes introduis à travers des aliments, trompent le cerveau, tout comme les drogues et les médicaments. Elles peuvent entraîner une très forte dépendance physique et des troubles psychiques. Ces substances dérivées au sens large de l’opium, agissent sur les récepteurs opiacés.
Dans le cadre de l’alimentation adaptée, généralement on élimine les opiacés des céréales et des produits laitiers et ses dérivés. La personne responsable de prendre sa santé en main, lira toujours les étiquettes ou demandera à son marchant ou son restaurateur, s’il y a du lait ou des farines de céréales dans la nourriture proposée avant de l’acheter. Par exemple dans les charcuteries, les sauces ou les épices, etc. On peut aussi trouver du gluten dans et certains légumes (épinards). Une seule molécule pourrait être suffisante pour perturber le système nerveux central, chez les personnes avec des porosités membranaires par exemple.
Ces macromolécules non digérées, vont déranger l’équilibre du microbiote et le putréfier. La paroi intestinale perméabilisée, va libérer ces opiacées dans le flux sanguin et les transporter au cerveau. La caséo morphine et le gluten morphine vont monter dans le cerveau et se placer dans la fente de la voûte synaptique, déranger la descente des neurotransmetteurs et agir à leur place. Leur structure étant similaire à celle de la morphine, leurs effets sont pareils aux effets des drogues dures, qui entravent la descente de la dopamine, de la sérotonine et de la noradrénaline, principalement.
Ce mécanisme physiologique alliés aux xénobiotiques, provoque des troubles psychotiques, des troubles du comportement, contribue à la dépression, aux hallucinations, aux distorsions de la vision, donne de l’hyperactivité, de la schizophrénie, de l’autisme, de l’épilepsie, du Parkinson et autres maladies neurodégénératives.