Anxiété ou dépression : Manger équilibré donne la pleine assurance et le régime malbouffe fait que l’individu se cache et se méfie après avoir mangé. Une preuve filmée chez les souris le démontre, puis des résultats positifs ont été constatés chez les humains touché par des maladies neurodégénératives tel l’autisme ou la schizophrénie
Comment les bactéries intestinales peuvent arriver au cerveau.
1 Les bactéries intestinales secrètent des substances qui passent dans le sang et peuvent atteindre le cerveau par le sang et par les signaux aux systèmes nerveux.
2 Elles peuvent agir de liaison nerveuses entre l’intestin et le cerveau.
3 Influer sur les hormones intestinales qui passent également dans le cerveau et influent le comportement.
4 Interagir avec le système immunitaire très développé dans l’appareil digestif et envoyer des signaux au cerveau. Tous ces éléments peuvent provoquer des modifications fonctionnelles au niveau du cerveau.
Bactéries, levures, moisissures, champignons, Virus, vers, microbes comme les parasites ou les infusoires unicellulaires qui apparaissent en grand nombre dans les infusions de végétaux « foins, thé, peaux de fruits, etc. », sont toutes des bactéries qui deviennent pathogènes si elles sont trop nombreuses elles causent un déséquilibre, mais elles tiennent un rôle important dans l’intestin si elles sont bien équilibrées.
Plus on propose d’aliments sains aux enfants plus ils auront formés leur palais et les repères.
Il est connu dans la recherche que les bactéries des populations se ressemblent mais ne sont pas les mêmes. Selon leur alimentation et dans la mondialisation industrielle 2007, on a vu des troubles d’Européens, apparaître en Asie par exemple.
Le plaisir des papilles joue un grand rôle pour le psychisme. Ainsi il ne s’agit pas de privation mais de remplacement des ingrédients utilisés pour cuisiner. Les oméga 3 durant la grossesse sont primordiales pour le QI de l’enfant, par exemple.
Les ingrédients industriels
Les méfaits des xénobiotiques cachés sous des formules commençant par E….Les aliments traités et préparés avec des additifs, les sucres, le lactose, le glutamate monosodique, l’aspartame etc, cliquez ici
La coeliaquie
La coeliaquie est une maladie auto-immune, Qui se révélerait soit dans la petite enfance, le plus souvent entre six mois et deux ans, c’est-à-dire après l’introduction du gluten dans l’alimentation, soit à l’âge adulte, le plus souvent dès l’âge de 20 ans. Cette maladie est caractérisée par une atrophie –destruction de la paroi de l’intestin grêle-. Cette maladie est une intolérance permanente à différentes fractions protéiques du gluten gliadine contenues dans différents types de céréales: blé, froment, épeautre, Kamut, triticale -hybride du blé et du seigle-. Il en résulte une malabsorption de certains nutriments -vitamines, fer, calcium…-, donc des carences alimentaires. Les personnes atteintes doivent adopter une alimentation stricte sans gluten à vie. Il n’existe aucun traitement médicamenteux, seule l’abstention de ses aliments peut ne pas manifester de symptômes.
Dans la maladie cœliaque, le gluten avec la complicité de l’HLA-DQ2 génère un anticorps fatal à la transglutaminase, enzyme de réparation tissulaire de la muqueuse digestive qui existe dans d’autres tissus (le cerveau notamment). C’est la perte de cette faculté de réparation qui entraînera l’atrophie villeuse et le syndrome digestif.
Les « coeliaques » ont de plus, soit par déficit enzymatique soit par effraction muqueuse, une hyperpeptidémie – hyperpeptidurie opioïde responsable d’un tableau neuropsychiatrique, dans 2/3 des cas.
La prévalence de la prédisposition familiale à la maladie cœliaque est de l’ordre de 10 % chez les parents de premier degré d’un patient atteint. 98% des malades sont porteurs de certains groupes HLA (HLA-DQ2 ou HLA-DQ8), mais la présence de ces groupes n’implique pas, pour autant, la maladie. Attention les autres céréales contiennent aussi du gluten-morphine, à des quantités différentes, mais n’ont pas les mêmes effets qu’avec la maladie de la coeliaquie. Par contre, devenus industriellement trop nombreux, ils devraient aussi être évités lors de l’apparition d’autres symptômes ou lors d’une décision de prévention.
Facteurs de risques identifiés :
Des compléments alimentaires contenant du fer pris au cours de la grossesse, les rotavirus, œsophagite à éosinophiles, l’apparition des symptômes de la schizophrénie, la prise d’antibiotiques contre des infections digestives durant les quatre premiers mois de vie, associée à un sevrage trop précoce et l’introduction de protéines de blé avant quatre mois, saison de la naissance, la vitesse d’introduction du gluten dans l’alimentation, au risque d’infection digestive et à l’apport de vitamine, taille à la naissance, -uniquement pour les garçons,- une césarienne élective, trisomie, hémochromatose, malformations congénitales, hypothyroïdisme, les mycotoxines alimentaires, la mucoviscidose, le psoriasis, un herbicide, le glyphosphate.
Le gluten et les atteintes neurologiques
Maladie coeliaque, maladie de Crohn, cancer des intestins, sont des physiopathologies ajoutées aux pathologies psychiatriques et divers troubles du comportement tels l’autisme, l’hyperactivité, les troubles scolaires de la schizophrénie, des troubles mentaux les plus divers les uns que les autres dont le principal responsable incriminé est le gluten ! Et malheureusement, nos enfants sont en première ligne concernant les risques.
La maladie Céliaque dépend de différents facteurs dont la vitesse d’introduction du gluten dans leur alimentation, d’infection digestive, césarienne, mycotoxines alimentaires, herbicide polyphosphate -Roundup- Ces produits sont connus pour provoquer des mortalités cellulaires par contact direct avec un légume.- Ils sont néanmoins utilisés dans des produits médicaux comme des collyres.-
L’infection peut aussi être asymptomatique chez l’adulte. Il est donc indispensable de contrôler l’efficacité du changement alimentaire et le bon suivi par l’observation de l’amélioration clinique et biologique. La régression des anomalies à la biopsie -atrophie villositaire- et la négativation des anticorps spécifiques survient après 6 à 24 mois de changement alimentaire. Il est aussi important de surveiller la disparition des symptômes qui avaient orienté le diagnostic -problèmes osseux…-
Après la confirmation de la maladie Coeliaque, la mise en place d’une alimentation sans gluten strict et à vie doit impérativement s’établir. Ces étapes de dépistage sont importantes si le malade cœliaque veut être remboursé de ses aliments diététiques sans gluten.
D’enlever le gluten de son alimentation avant les analyses biologiques fausserait l’établissement du diagnostic. En effet, en cas d’absence d’ingestion de gluten, l’organisme ne souffre plus et ne produit pas d’anticorps spécifiques de la maladie.
Le diagnostic est souvent facile quand il y a des signes cliniques digestifs. En leur absence, le diagnostic est beaucoup plus complexe. Il repose sur trois principaux critères sérologie, histologie et l’efficacité de l’exclusion du gluten.Il est essentiel de ne pas méconnaître la maladie devant des manifestations digestives ou extra-digestives qui, non traitées, pourraient entraîner de graves complications, telles qu’une dénutrition ou une atteinte neurologique.
La gliadine contient la majeure partie des composants toxiques -98% de gluten-. La pénétration de ces peptides dans la paroi intestinale chez des sujets prédisposés provoquerait une réaction inflammatoire entraînant sa perméabilité par la destruction des cellules composant les villosités intestinales. Cette intolérance au gluten n’est pas une allergie, elle est d’origine immunologique sans réaction d’hypersensibilité.
Cette atrophie est prédominante au niveau de l’intestin grêle proximal mais peut, quand l’atteinte est importante, être visible sur l’ensemble de l’intestin.
La perméabilité digestive provient d’une inflammation intestinale avec passage de fragments d’aliments entre les cellules de l’épithélium intestinal. Des réactions anticorps vis-à-vis d’aliments surviennent et peuvent déclencher des réactions très variées. Tous ces systèmes interagissent et quand le système immunitaire est débordé, on voit l’apparition de maladies auto-immunes.
Certains individus qui ont une « hypersensibilité au gluten » présentent les mêmes symptômes que la maladie cœliaque mais sans réaction immunologique anomale vis à vis du gluten et de destruction de la muqueuse intestinale, ce qui a conduit les spécialistes à créer une nouvelle entité clinique, la « sensibilité au gluten non cœliaque ». L’existence de ce syndrome a été complété par des travaux scientifiques en aveugle mettant en évidence les troubles digestifs dus à la présence de sucres fermentés ciblés dans l’alimentation.
On trouve généralement cette maladie chez l’enfant, mais le diagnostic peut être fait chez l’adulte quand la maladie était discrète pendant l’enfance.
Cette maladie touche surtout les populations d’Europe du Nord. Des estimations de sa fréquence parmi les personnes d’origine européenne varient entre 1 sur 300 et 1 sur 500. Parmi les Irlandais la prévalence atteindrait 1 sur 132, tandis que la prévalence moyenne au Royaume-Uni serait de 1 sur 100. Cette prévalence différente est en partie due à la disparité des diagnostics portés.
Les populations ayant une alimentation historiquement sans gluten (depuis plus de 2 ou 3 millénaires) comme dans la corne de l’Afrique où la céréale locale est le Teff -12% de gluten-, ou bien en Asie – plus précisément en Extrême-Orient- où la population locale consomme principalement du riz – 5% de gluten-, auraient éventuellement une plus grand disposition à l’intolérance à la gliadine -98% de gluten-, s’ils se mettaient à en consommer comme en Europe ou au États-Unis.
En raison de sa nature en partie génétique, les médecins recommandent généralement que les proches parents de patients atteints passent un test même s’ils ne présentent aucun symptôme, des formes cliniquement asymptomatiques (sans signe apparent).
Signes et symptômes
Les signes les plus fréquents sont : la fatigue, manque d’énergie, douleurs abdominales, diarrhée de type malabsorption avec stéatorrhée -selles graisseuses-, amaigrissement, dénutrition, teint très pâle, joues et ventre gonflés -chez le nourrisson le plus souvent-, mauvaise haleine, nervosité, -chez l’adolescent surtout-, troubles psychiques et mentaux.