Sont des peptides opioïdes qui ont été découvertes en 1956, mais l’événement n’à pas été mis au grand jour pour des raisons économiques. Ces travaux ont été repris par le Dr Reichelt en 1981 qui à mis en évidence une plus grande quantité de peptides opioïdes dans les urines des enfants ayant de l’autisme que dans les urines d’enfants n’ayant pas d’autismes, ainsi que dans les urines des adultes avec de la schizophrénie. Le Dr Reichelt apporta entre 1986 et 1991 de très fortes améliorations, voire des guérisons, suite à l’élimination du gluten et de la caséine dans leur alimentation.

Travaux récents démontrant le mécanisme de la morphine contre la douleur aux HUG

 

Les peptides opioïdes

Le terme peptide se distingue parmi les opioïdes qui ont des résultats direct ou indirect d’une synthèse biologique issue de la retranscription de gènes. Leur rôle biologique naturel est difficile à isoler car le mécanisme est ancien à l’échelle de l’évolution (apparition estimée à 600 millions d’années). Toutefois, il semble que les peptides opioïdes soient fortement impliqués dans les mécanismes de la réponse immunitaire.

Permettre aux enfants atteints d’autisme de sortir de l’ombre et du silence vers la lumière et la vie, à été l’un des combats menés par différents chercheurs comme les Dr Doan et Dr Carton… Aujourd’hui ces opportunités sont connues après en avoir pris conscience qu’un peptide opioïde (glutenmorphine) désigne un opiacé qui et une molécule compatible avec les récepteurs aux opiacés, constitué d’une chaîne d’acides aminés.

Le professeur Karl Ludwig REICHELT, M.D., Ph.D., Docteur en neurochimie, professeur et chercheur titulaire au Département de Recherche Pédiatrique à l’Hôpital pour Enfants d’Oslo en Norvège, Médaillé du Roi en 2004 et chercheur sur les peptides opioïdes dans le gluten et la caséine, a publié plus de 200 articles scientifiques. Il a reçu le prix médical Snokloas à l’Université d’Oslo.